HYMNE / Lecture publique


 

 

HYMNE

Les 20 et 21 mai 2016, à 19h00

au TNS - Strasbourg (67)

Salle de Peinture

[Durée : 4h00 avec deux entractes]

 

 

Texte : Lydie Salvayre - Éditions du Seuil, 2011 

 

Direction : Anne Théron

 

 

Avec : Romain Darieu, Rémi Fortin , Adrien Serre - Élèves du Groupe 42 de l’École du TNS

 

 

 

 

Depuis septembre 2014, Anne Théron est artiste associée au Théâtre national de Strasbourg et à son École - sous la direction de Stanislas Nordey - aux côtés de Julien Gosselin, Thomas Jolly, Lazare, Christine Letailleur et Blandine Savetier.

 

Dans le cadre de sa carte blanche, Anne Théron a choisi de mettre en voix le texte de Lydie Salvayre, Hymne, avec Romain Darieu, Rémi Fortin et Adrien Serre, élèves du Groupe 42 - une lecture intégrale.

 

 

 

La Cie Les Productions Merlin est conventionnée par le Ministère de la culture et de la communication / DRAC Poitou-Charentes et la Région Poitou-Charentes.

 

 


 

INFORMATIONS UTILES :  

 

DATE : Les 20 et 21 mai 2016, à 19H00

Lieu : dans la salle de Peinture du TNS - Strasbourg (67)

Durée : 4H00 - avec deux entractes

 

RÉSERVATIONS : Les réservations se feront sur le site du TNS, en cliquant ICI

 


©Jean-Louis Fernandez
©Jean-Louis Fernandez

 

UNE LECTURE DE 4 HEURES AVEC 2 ENTRACTES :

 

Le matin du 18 août 1969, à Woodstock, Jimi Hendrix joua un hymne américain d’une puissance quasiment insoutenable.

Parce qu’il avait du sang noir et du sang cherokee mélangé de sang blanc, parce qu’il était donc toute l’Amérique, parce que la guerre au Vietnam soulevait en lui un violent mouvement de refus que toute une jeunesse partageait, parce que sa guitare était sa lady électrique, sa passion, sa maison, sa faim, sa force et qu’il en jouait avec génie, Jimi Hendrix fit de cette interprétation un événement.

Revenant sur ce moment inoubliable, Lydie Salvayre tire les fils de la biographie pour réécrire la légende de Jimi, sa beauté et sa démesure, mais aussi sa part sombre, ses failles et la brutalité du système dont il était captif et qui finira par l’anéantir.

 

Lorsque j’ai découvert ce texte de Lydie Salvayre, je l’ai lu d’une traite et ai eu immédiatement envie de le faire entendre parce qu’il sonne, résonne et nous emporte. Je n’ai pas envie de couper dans cet élan, d’en faire un montage d’une heure. Non, je crois que c’est le texte dans sa globalité qu’il faut lire, avec la proposition de plusieurs interruptions pour reprendre son souffle, un verre à la main.

Oui, voilà ce que j’aimerais : une soirée complète en immersion dans la langue de Lydie Salvayre.

 

A. Théron

 

 


CONTACTS CIE :

 

Administration : Bérénice Marchesseau / GINGKO BILOBA

+ 33 (0)1 43 56 52 22 / gingkobiloba75@gmail.com