Anne Théron
– Auteure, Metteure en scène
Originaire de Cambrai, Anne Théron est une artiste française à la fois romancière, dramaturge, scénariste, metteure en scène et réalisatrice.
Elle commence par publier des romans dont Figures et Les plaisirs et les corps chez Buchet-Chastel, La trahison de Frédégonde chez Grasset, Faux papiers chez Denoël. Elle écrit également pour la télévision et le cinéma. Elle réalise deux courts-métrages Qui t’es toi ? et Visite du soir, espoir diffusés sur ARTE (1996), un moyen métrage Elle grandit si vite diffusé également sur ARTE (2000) et un long métrage Ce qu’ils imaginent (2004) avec, entre autres, Marie Trintignant et Julie Gayet. Un second long métrage est en cours de préparation intitulé Il fait si beau.
Passionnée par la mise en scène et l’écriture de plateau, elle fonde la compagnie Les Productions Merlin avec laquelle elle crée ce qu’elle appelle des « objets », où se mêlent recherches sur le corps, la vidéo et le son : La religieuse (1997) d’après Diderot ; Le Pilier (2000) de Anne Théron ; une deuxième version de La religieuse (2004) d’après Diderot – tourné en France de 2004 à 2013, au Canada en 2006 et en Russie en 2013 ; Antigone/hors-la-loi (2006) de Anne Théron ; Abattoir (2008) d’après le scénario du documentaire Entrée du personnel de Manuela Frésil ; Amours/Variations (2008) de Anne Théron ; Jackie (2009) d’Elfriede Jelinek ; Richard III (2010) de Carmelo Bene ; Un doux reniement (2010) de Christophe Pellet ; Andromaque/2010 (2011) d’après Racine ; L’Argent (2012) de Christophe Tarkos ; Loin de Corpus Christi (2013) de Christophe Pellet, Contractions de Mike Bartlett (2014).
En juillet 2013, elle est invitée par Hortense Archambault et Vincent Baudrillier au Festival d’Avignon où elle présente L’Argent de Christophe Tarkos, avec la danseuse Akiko Hasegawa et le comédien Stanislas Nordey.
Son goût pour le texte l’amène à diriger plusieurs lectures dont : Don Quichotte (2012) de Kathy Acker, Le Garçon Girafe (2013) de Christophe Pellet au Théâtre du Rond-Point à Paris, Que font les rennes après Noël ? (2013) d’Olivia Rosenthal dans le cadre du Festival Paris en toutes lettres, Europe connexion (2015) de Alexandra Badea, Hymne (2016) de Lydie Salvayre au TNS.
Anne Théron a été artiste associée à la Scène Nationale de Poitiers puis au TAP – sous la directions de Denis Garnier de 2007 à 2011, au TU-Nantes sous la direction de Bertrand Salanon de 2010 à 2012 et depuis 2014, au Théâtre National de Strasbourg et à son École dirigés par Stanislas Nordey – aux côtés de Julien Gosselin, Thomas Jolly, Lazare, Christine Letailleur et Blandine Savetier. En février 2015, elle y crée Le Garçon girafe de Christophe Pellet, avec les élèves de deuxième année de l'École du TNS et en septembre 2015 Ne me touchez pas, un texte dont elle est l'auteure, librement inspiré des Liaisons dangereuses de Pierre Choderlos de Laclos, dont le texte est édité aux Solitaires Intempestifs.
En mars 2017, elle crée Celles qui me traversent, un poème chorégraphique, avec Julie Coutant et Akiko Hasegawa.
Pour la saison 17-18, elle prépare la création de À la trace, un texte de Alexandra Badea, avec Liza Blanchard, Judith Henry, Nathalie Richard, Maryvonne Schiltz, Yannick Choirat, Alex Descas, Wajdi Mouawad et Laurent Poitrenaux.
Daisy Body
– Collaboratrice artistique
Après un Master professionnel « Dramaturgie et mise en scène » à l’université de Poitiers – où elle suit des stages avec Aurélia Guillet, Ludovic Lagarde, Pier Lamandé, Sandrine Lanno, Claire Lasne, Arthur Nauzyciel, Frédéric Pierrot, Anne Théron, etc., – elle s’installe à Paris en janvier 2009, où elle travaille comme assistante à la mise en scène auprès de Nicolas Bigards – artiste associé à la MC93-Bobigny – pour Chroniques du Bord de Scène : Hello America, Saison 1 et 2.
La collaboration se poursuit sur la saison 2009/10, où rattachée au service des Relations publiques de la MC93-Bobigny, elle est en charge du suivi des diverses résidences, ateliers et rencontres organisés par Nicolas Bigards. Parallèlement elle obtient un Master professionnel « Métiers de la productions théâtrale » à l’université Sorbonne Nouvelle – Paris 3.
À la saison 2012/13, elle entame une collaboration avec Anne Théron qui lui confie d’abord le suivi de tournée des spectacles Abattoir, La Religieuse, et de L’Argent lors de sa reprise au Festival d’Avignon en juillet 2013. Parallèlement elle prend en charge la communication de la compagnie.
Elle devient une véritable interlocutrice artistique pour Anne Théron
dès la saison suivante et ensemble elles créent une lecture publique du Garçon Girafe de Christophe Pellet, au Théâtre du Rond Point en octobre 2013,
la performance Que font les rennes après Noël ? de Olivia Rosenthal, dans le cadre du Festival Paris en Toutes Lettres en novembre 2013.
S’ensuivront la création de Contractions de Mike Bartlett, au Théâtre Blossac – Les 3T de Châtellerault en janvier 2014, en septembre 2015 celle de Ne me touchez pas, un texte de Anne Théron librement inspiré des Liaisons dangereuses de Laclos, au Théâtre national
de Strasbourg et en mars 2017 à l’Avant-scène – Cognac Celles qui me traversent – un poème chorégraphique avec les danseuses Akiko Hasegawa et Julie
Coutant. Et pour la saison 17-18, À la trace, un texte de Alexandra Badea mis en scène par Anne
Théron.
Dans le même temps, aux côtés de Anne Théron elle collabore à la création de Lucrèce Borgia, de Victor Hugo, en juin 2014 et à la lecture de Europe connexion, de Alexandra Badea, en mars 2015, avec les élèves de CEPIT du Conservatoire à Rayonnement Régional de Poitiers.
En novembre 2015, elle dirige seule, une mise en espace à partir d’un montage des textes Suzy Storck et Lilith à l'estuaire du Han de Magali Mougel, et en janvier-février 2017 une mise en espace du texte inédit Celle qui regarde le monde, de Alexandra Badea, avec les élèves de CEPIT du Conservatoire à Rayonnement Régional de Poitiers.
Enfin à la saison 17-18, elle débutera une nouvelle collaboration artistique auprès de Anthony Thibault pour Ce qu’on attend, ce qu’on avait déjà, un texte inédit de Mario Batista, interprété par Nathalie Richard.
Barbara Kraft
– Scénographe, Costumière
Artiste, scénographe et créatrice de costumes d’origine allemande, Barbara Kraft peut être croisée dans des domaines aussi divers que l'art numérique, le cinéma, la muséographie, le théâtre et la danse.
Après avoir créé de nombreuses installations et performances avec le groupe interdisciplinaire "Argonaut" qu'elle a co-fondé en Allemagne dans les années 80 avec le réalisateur Rolf Wolkenstein, l'architecte Finn Geipel et les plasticiens Thomas Meyer-Hermann, Ursula Kraft, et d'autres, elle coopère depuis vingt ans avec de nombreux metteurs en scène, chorégraphes, muséographes et réalisateurs : Pascale Henri, Nathalie Benshard, Sophie Jabès, Olivier Auber, Arlette Desmots, Emmanuel Mâa Berriet, Claire Schmitt, Laurence Marthouret, Les Voignier-Bertagnol, Bruno et Catherine Ulmer, Jacques Séchaud, Marc Barbé, François Demerliac, Pierre-Henry Salfati, Paul Cowan, Eric le Roc, Ilan Duran Cohen...
Depuis 2008, elle crée pour le théâtre avec Hanna Schygulla, égérie du cinéma allemand. Elle signe notamment en 2010 la scénographie d'un monologue interprété par Hanna Schygulla et mis en scène par l'auteure cubaine Alicia Bustamente au Grand théâtre de Luxembourg. Elle scénographie aussi avec Hanna Schygulla des installations vidéo et deux expositions ; l'une présentée en 2014 à l’Akademie der Künste de Berlin, l'autre qui le sera prochainement à la galerie Looiersgracht 60 d'Amsterdam.
Récemment elle a conçu la scénographie d'un parcours de danse et d'art visuel "Attractions plurielles" autour de l'apesanteur avec la chorégraphe Kitsou Dubois.
Enfin, elle travaille avec Anne Théron, depuis 2000, sur la plupart de ses créations cinématographiques et théâtrales (Objet n°1, Le pillier, La Religieuse, Antigone Hors la loi, Amour/Variations, Andromaque-2010, Jackie, Abattoir, Ne me touchez pas) en tant que scénographe et costumière.
Et elle signera donc la scénographie et les costumes de Celles qui me traversent, un poème chorégraphique, mis en scène par Anne Théron, qui sera créé à l'Avant-scène - Cognac en mars 2017.
Site web : http://www.barbara-kraft.info
Benoît Théron
– Créateur lumières
Benoît Théron crée des éclairages aussi bien pour la musique, que pour le théâtre, la danse, ou encore l’opéra. Palette à laquelle on peut ajouter des événements inclassables dans le spectacle (événements pour la Fondation Menuhin ou créations pour le festival du son à Bruxelles). Il donne également des formations au Centre Culturel de la Communauté Française de Belgique.
Pour la musique, il collabore avec des dizaines de chanteurs ou de groupes dont, entre autres, Machiavel, Nina Morato, Les Ryth’miss, Zap Mama, Nilda Fernandez, Marie-Christine Barrault, Zoé, Stéphanie Blanchoud, Maurane, etc. Il a récemment signé la lumière d’un opéra sous la direction musicale d’Yves Senn et mis en scène par Jean-Claude Pellaton, ou encore le nouveau show de Stéphanie Blanchoud (Les beaux jours, mars 2015, Bruxelles). Enfin il signe la lumière de nombreux événements et festivals (rock, danse, théâtre).
Pour la danse, il a collaboré essentiellement avec les chorégraphes Irene K, Germaine Acogny, Thomas Howwaert, et l'École de danse Parts d'Anne Teresa De Keersmaeker.
Pour le théâtre, il travaille régulièrement avec Elvire Brison, Idwig Stéphane, Julie Brochen, Graziella Boggiano, Alicia Bustamante, Pascale Tison, Soulemane Koly, Jean-Claude Berutti.
Enfin, Benoît Théron est le créateur lumières de tous spectacles d’Hanna Schygulla, dont il vient de terminer la création lumière du nouveau spectacle autour du soixante dixième anniversaire de la naissance de R. Werner Fassbinder (Siebzehn Siebzig, mai 2015, Berlin), et de la plupart des spectacles de Anne Théron (Le pilier, La Religieuse, Antigone Hors la loi, Amour/Variations, Andromaque-2010, Jackie, L’Argent, Contractions, Ne me touchez pas), dont il signera également les lumières de la prochaine création Celles qui me traversent, un poème chorégraphique, mis en scène et chorégraphié par Anne Théron, qui sera créé à l'Avant-scène - Cognac en mars 2017.
Nicolas Comte
– artiste vidéaste
Nicolas Comte commence sa formation artistique à l'EESI (École Européenne Supérieure de l'Image), à Poitiers en 2007. Au sein de cette école, qui fait partie du réseau national des Écoles des Beaux-Arts françaises, il est mis au contact des pratiques plastiques dites 'classiques', allant du dessin à la sculpture, puis est initié aux formes plus récentes voire expérimentales, tel que l'art vidéo, l'installation, l'art programmé ou interactif.
En parallèle de sa formation d'artiste contemporain, il participe en 2010 à des laboratoires de création mêlant théâtre et nouvelles technologies. L'un est dirigé par Cyril Teste, et réunit des étudiants du conservatoire régional, de l'université et de l'EESI de Poitiers, l'autre est dirigé par Anne Théron. Un an plus tard il est opérateur-vidéo dans Patio, spectacle de Cyril Teste présenté au TAP de Poitiers ; puis en 2012 il crée le dispositif et l'écriture vidéo du laboratoire de création Chantier Macbeth, mis en scène par Matthieu Roy.
Cette même année, diplôme en poche il participe à une exposition collective au FRAC Poitou-Charentes. L'année suivante, il obtient une « carte blanche » à l'artothèque de Poitiers, et y réalise une installation In-situ.
Depuis 2013 il a réalisé la création vidéo des spectacles de Matthieu Roy (Même les chevaliers tombent dans l'oubli, Days Of Nothing), Angélique Orvain (Au Bord, 20 Novembre), et Anne Théron pour la performance Que font les rennes après Noël ?, et à la saison 2015/16 pour le spectacle Ne me touchez pas, un texte et une mise en scène de Anne Théron, librement inspiré des Liaisons dangereuses de Laclos.
Il intervient également en tant que régisseur vidéo, réalise des captations et bande-annonces de spectacles, auprès d'autres metteurs en scène dont Camilla Saraceni (Cie le Théâtre de Léthé). Avec Anne Théron, il réalise le montage de films cinématographiques émergeant des spectacles de la compagnie (Contractions, Le Garçon Girafe, Ne Me Touchez pas).
À la saison 16-17, il réalisera la création vidéo de Celles qui me traversent, un poème chorégraphique, mis en scène par Anne Théron, avec les danseuses Julie Coutant et Akiko Hasegawa.
Sophie Berger
– créatrice et régisseuse son
Sophie Berger commence sa formation artistique au sein de l’École Nationale Supérieure des Arts et Techniques du Théâtre (ENSATT) à Lyon, où elle intègre le département « Réalisation Sonore », de 2009 à 2012.
Depuis 2012, elle a travaillé comme créatrice son pour le spectacle vivant avec les metteurs en scène Emmanuel Meirieu (compagnie Bloc Opératoire), Séverine Fontaine (Compagnie IKB), Simone Audemars (Compagnie FOR), Matthieu Benigno - Alexandre Esperet (Compagnie Kalhua) et le chorégraphe Aurélien Le Glaunec (Compagnie WunderKammer).
Elle est également, depuis plusieurs années, régisseuse son pour ARCOSM, compagnie de danse et théâtre musical dirigée par le chorégraphe Thomas Guerry et le compositeur Camille Rocailleux, pour des tournées nationales et internationales.
Parallèlement, elle développe une recherche sonore personnelle, indépendante de la scène qui oscille entre une part documentaire et une part purement sonore et poétique à partir de sons bruts collectés dans le réel. Ce travail a donné lieu a trois pièces sonores longs formats LOIRE (2013), CARGO (2015), et DUNKERQUE (2015).
Ces pièces sont diffusées sur de nombreuses radio : France Culture, Radio Campus, RTBF (Belgique), RTS (Suisse), Choq (Canada), ainsi que dans de nombreux festivals sous forme de séances d'écoute : Rec Festival (Paris), Festival Clermont-Ferrand, Festival Futura (Drôme), Semaine du son belge (Bruxelles), Rencontres Internationales du Documentaire de Montréal (Canada), etc.
LOIRE a obtenu le prix d'art sonore "Pierre Schaeffer", en 2014.
À la saison 16-17, elle réalise la création sonore de Celles qui me traversent, un poème chorégraphique, mis en scène
par Anne Théron, avec les danseuses Julie Coutant et Akiko Hasegawa. Une collaboration qui se poursuit à la saison 17-18 pour la nouvelle création de Anne Théron, À la trace, un texte de
Alexandra Badea.
Jean-Baptiste Droulers
– compositeur sonore
Titulaire d'une maîtrise en Sciences et Techniques d'Audiovisuel (Université de Valenciennes), il réalise en 1999 les dispositifs interactifs et la création sonore de deux expositions multimédia produites par le CICV-Pierre Schaeffer : Les mystères de la conversation et Parcours dans la violence ordinaire.
Depuis, il collabore régulièrement avec l'artiste plasticien Thierry Fournier : régisseur général de la performance La Mue de l'Ange à Montréal en 2000 ; assistant et interprète de la création musicale pour Les Paravents de Jean Genet mis en scène par Frédéric Fisbach en 2002 ; régisseur général et collaborateur de réalisation interactive pour les installations L’Ombre d’un Doute en 2003, Réanimation en 2005, OpenSource en 2008, Pariétale en 2010, Fenêtre augmentée en 2012, A+ en 2013 et Sous ensemble en 2015.
Il collabore également, en tant que concepteur et réalisateur de dispositifs interactifs, avec Samuel Bianchini (Temps libre, 2011 ; Training Center, 2005), Clyde Chabot (Comment le corps est atteint, 2005), Martin le Chevallier (Dial Star, FIAC 2003, Oblomov et Le Papillon, Galerie Maisonneuve 2005).
Depuis 2006, il se concentre sur la création sonore et musicale pour le théâtre avec Anne Théron (Antigone Hors la Loi – Abattoir - amour/variations - Jackie - Andromaque, 2010 - Richard III - Contractions - Ne me touchez pas), Alexandre Zeff (Le monte-plats et Célébration – Théâtre 13 Paris 2007), Esther Mollo (385000 km au dessus de nos têtes – Théâtre de Denain 2008, UBU... - La virgule Tourcoing 2009, Terreur Torero - Maison folie de Lomme 2011, Mary's Baby - Maison folie de Lomme 2013) avec qui il développe également un système de projection vidéo sur des objets en mouvement.
En 2014, il signe sa première musique de film pour le film World Brain de Stéphane Dégoutin et Gwenola Wagon – Production Irrévérence Films, avec le soutien de Pictanovo, CNC Nouveaux Médias, ARTE Créative et Le Fresnoy – Studio nationale des arts contemporains.
Aujourd'hui, son travail s'articule autour de la composition musicale pour l'écran et la scène, la conception et réalisation de dispositifs sonores et visuels sur la scène théâtrale, et l'ingénierie de systèmes interactifs dans le cadre d'installations interactives en assurant la conception des équipements et la supervision de leur construction et de leur montage.
Claire Servant
– Chorégraphe
Claire Servant a suivi un parcours éclectique et atypique, formée à la danse contemporaine auprès de Susan Buirge, Jackie Taffanel, et plus sporadiquement de Julyen Hamilton. Pour sa compagnie Alice de Lux, implantée à Chauvigny, elle chorégraphie Presqu’île, Beau-partir, Le jardin d’Hélène, et Voilà 1, Voilà 2, Voilà 3, Voilà 4, Voilà 5, Voilà beaucoup, Voilà beaucoup en corps, Voilà beaucoup A3 tout en menant parallèlement un travail de transmission.
En 1997, elle rejoint le Ballet Atlantique Régine Chopinot où elle interprète Saint Georges, Paroles du feu, Végétal, Les quatre saisons, La danse du temps et Chair-Obscur de Régine Chopinot, mais aussi Faits d’artifices de Françoise et Dominique Dupuy et Fair Play de Sophie Lessard. Durant cette période, elle accompagne régulièrement Régine Chopinot dans un travail auprès des danseurs du Ballet de l’Opéra et de l’école supérieure de danse de Hanoï (Vietnam).
Elle est interprète ensuite pour Mauvais genre d’Alain Buffard qu’elle assiste également dans le travail des inconsolés (2005).
En 2008 elle crée Abattoir avec Anne Théron puis l’assiste pour la gestion des corps dans Amour/Variations ; elle assiste également Odile Azagury pour l’événement chorégraphique et musical Les Princesses. En 2010 elle co-signe avec Anne Théron Jackie sur un texte de Elfriede Jelinek.
Au-delà des activités de sa compagnie, elle est formatrice au Centre d’Études Supérieure Musique et Danse de Poitou-Charentes.
Jean Louis Gonnet
– vidéaste
Après une école de photographie Jean Louis Gonnet rejoint l'école des beaux-arts d'Orléans où il réalise « Filming Muybridge », à partir des photographies de la décomposition du mouvement faîtes par Eadweard Muybridge.
Parallèlement à une activité de réalisateur pour ARTE (Métropolis, Dessous des cartes, etc...) il réalise plusieurs courts-métrages, notamment « Comme un seul homme », description de la préparation d'une équipe de rugby avant un match. Et il prépare actuellement un nouveau film intitulé « A la recherche du pilier droit ».
Enfin pour la Cie Les Productions Merlin il a signé la création vidéo de amour/variations, de Jackie et de
Richard III et la captation du Garçon girafe en collaboration avec Nicolas Comte.